Lettre de nouvelles - février 2014


Chers lecteurs,  

Nous sommes heureux de partager avec vous des nouvelles sur nos prochains ateliers en France et le nouveau matériel disponible sur notre siteweb.

- Atelier du 18 au 20 juillet 2014, près de Cognac : Etre un Artisan de Lumière dans le Monde
- Nouveau matériel sur notre siteweb
- Compte rendu de notre voyage en Chine

Mais d’abord nous aimerions exprimer notre sincère gratitude et appréciation envers Christelle Schoettel (https://www.revessentiel.ursiteweb.com), qui a été notre traductrice depuis 8 ans et qui vient de passer le flambeau à une nouvelle équipe de traducteurs.
En réponse à notre dernière lettre de nouvelles dans laquelle Christelle a annoncé son départ, elle/nous avons reçu de nombreux messages et chaleureux témoignages de gratitude. Merci d’avoir partagé avec nous vos vœux qui viennent du cœur!

Suite à notre question concernant un nouveau traducteur, non pas une mais plusieurs personnes se sont généreusement proposées pour traduire bénévolement les transmissions pour la version française de jeshua.net. Nous sommes désormais heureux d’avoir une nouvelle équipe de traducteurs et de pouvoir continuer à vous proposer de nouveaux ateliers et matériel.
 


 

Atelier du 18 au 20 juillet 2014, près de Cognac : Etre un Artisan de Lumière dans le Monde


Nous vous invitons à participer à cet atelier de deux jours pour comprendre ce que cela signifie pour vous d’être un artisan de lumière dans le monde d’aujourd’hui. Etre un artisan de lumière signifie que vous avez un désir profond de grandir en conscience, à prendre contact avec votre âme et vouloir vivre dans votre cœur. Vous êtes inspiré par l’idéal de La Nouvelle Terre où les hommes vivent en harmonie les uns avec les autres et avec la nature. Ce désir et cet idéal vous distinguent de la société, pour autant que celle-ci est encore influencée par le pouvoir, la peur et la compétition. Etre un artisan de la lumière fait que vous vous sentez différent, souvent solitaire aussi, et quelque fois désespéré parce que vous ne vous retrouvez pas dans l’ordre existant. Tant que vous n’avez pas rencontré des personnes qui sont sur la même longueur d’onde que vous, vous pouvez douter de vous-même et vous demander si vous êtes le bienvenu sur terre.

JOUR 1  Etre un Artisan de Lumière

Durant cet atelier on examinera en profondeur ce que veut dire l’expression se « sentir différent » en tant qu’artisans de lumière. Ce premier jour nous allons parler de thèmes tels que : ne pas se sentir à l’aise dans le monde, la solitude, l’hyper sensibilité, la nostalgie de « la vie dans l’au-delà », prendre contact avec votre cœur et sentir quelle inspiration est présente dans votre âme. Apprécier la personne que vous êtes, notamment votre différence, est une étape fondamentale qui vous amène vers l’étape suivante : découvrir votre participation personnelle et unique au monde d’aujourd’hui.

Nous allons découvrir ces thèmes durant des méditations guidées (par Gerrit), des transmissions (Pamela), des discussions et les questions/réponses des participants.

Le but est d’accueillir complètement votre différence, d’expérimenter votre amour envers vous-même et comprendre vos motivations et désirs.

JOUR 2  - Etre dans le monde

Ce deuxième jour nous allons examiner comment vous pouvez vivre et vous manifester dans le cœur, en tant que artisan de lumière dans le monde. Dans les transmissions que nous recevons de Jeshua, il insiste toujours fortement que le temps est venu, pour les artisans de lumière, de se manifester, de ne plus se cacher et de laisser leur lumière rayonner dans le monde. Mais comment pouvez-vous faire cela, comment vous libérer de l’angoisse et l’incertitude qui vous empêchent d’avancer? Ou peut-être que justement vous êtes passionné et vous avez envie de faire bouger les choses et vous vous heurtez régulièrement à la réalité revêche qui fait que vous vous sentez déçu et devenez amer. Comment trouver votre équilibre et comment trouver votre place (« sweet spot ») dans le monde?

Une expression bien connue de Jeshua dit « Sois dans le monde et non du monde ». Comment pouvez-vous vivre dans le monde sans être compris à cause des énergies de peur, de contrôle et de compétition qui ont dominé le monde depuis si longtemps? Ces questions seront explorées le deuxième jour.

Nous examinerons ces thèmes via des méditations guidées (Gerrit), des transmissions (Pamela) et les questions/réponses des participants.

Chaque participant aura l’opportunité de poser une question personnelle à Pamela/Jeshua. Il y aura un maximum de 32 participants.

Comment savoir si vous êtes un artisan de lumière? Vous pouvez lire sur www.jeshua.net/fr , L'artisan de Lumière I (menu à gauche : troisième message de la Série des artisans de lumière). Il contient une liste de caractéristiques des artisans de lumière, selon Jeshua.

Langue
L’atelier sera présenté en anglais, et sera traduit en français par Kate Bentley (bentleykate@yahoo.fr).
Vous recevrez un lien aux fichiers audio (enregistrements des méditations, transmissions et questions-réponses) après l’atelier, par email.

Informations pratiques sur l’atelier

Dates : Vendredi 18 juillet et dimanche 20 juillet

Horaires : 10h – 16h30 les deux jours

Le samedi 19 juillet nous vous invitons soit à vous reposer, soit à explorer le charme des environs de Cognac, soit à participer à l’une des activités proposées par nos hôtes, Alain et Anne Karli.

Au cours de cette journée, vous aurez le choix entre :
- un atelier de Nourriture Consciente et/ou un atelier créatif, animés par Anne
- un atelier de pratique de la Pleine Conscience (MBSR) animé par Alain

Ils vous proposent de laisser à votre générosité la participation financière pour ces ateliers.

Samedi soir, nous nous réunirons de façon informelle, et nous vous inviterons de partager vos dons et talents avec le groupe, en chantant, en racontant une histoire ou une poésie, ou en montrant vos œuvres d’art. Si vous souhaitez participer, merci d’informer Alain et Anne la veille, afin que nous puissions organiser un programme.
Jeshua souligne que les artisans de lumière doivent s’exprimer et montrer au monde qui ils sont. Voici une opportunité de le faire, dans un environnement sécurisant et aimant.

Lieu :

Alain et Anne Karli nous accueillent pour cet atelier dans leur adorable maison, située dans un hameau au nord de Cognac : voir ici https://www.lieuderessourcement.fr

Leur adresse :

Anne et Alain KARLI
3, rue du mont Moreau
LA PARISIERE
16200 Sainte-Sévère


Agrandir le plan

En voiture : Autoroute A10 sortie n° 34 Cognac/Saint-Jean d'Angély en venant du Nord (Paris), et sortie 36 Pons en venant du Sud (Bordeaux)

Tarif et inscription :

Le prix de l’atelier est 225 euros. Ce tarif comprend les ateliers de vendredi et de dimanche ainsi que cinq repas (vendredi, samedi et dimanche midi. Ceux qui voudront dîner dimanche soir devront le préciser lors de l’inscription.) Il ne comprend pas l’hébergement.

Vous pouvez vous inscrire en envoyant un email à Alain Karli à alain.karli@wanadoo.fr ou en lui téléphonant au 05 45 36 07 34 (en cas d’absence veuillez laisser un message). Nous vous remercions d’attendre confirmation de sa part et d’envoyer ensuite un chèque d’un montant de 80 euros à Anne KARLI  3, rue du Mont Moreau Lieu dit LA PARISERE 16200 SAINTE SEVERE.  Votre inscription sera alors validée. Lors de votre arrivée Anne vous demandera de bien vouloir régler en espèces le montant total de l’atelier (225 euros) : votre chèque vous sera rendu.

Si vous deviez annuler votre inscription, vous pouvez le faire sans frais jusqu’à 3 semaines avant la date de l’atelier (27 juin 2014). Après cette date, votre annulation se fera sans frais uniquement si nous trouvons un autre participant pour vous remplacer. Sinon, nous ne pourrons pas rembourser les 80 euros d’inscription.

Hébergement :

Il y a un choix de lieux d’hébergement agréables et accessibles dans les environs de La Parisière. Deux possibilités à proximité sont « L'Escapade » et « La Fontenelle » . 
Pour d’autres possibilités vous pouvez regarder ici : www.jarnac-tourisme.fr.

Nous vous conseillons de réserver bien en avance car la région est très visitée, surtout pendant la saison estivale. Pour tout renseignement concernant l’hébergement vous pouvez contacter notre hôte Alain Karli à alain.karli@wanadoo.fr ou par téléphone au 05 45 36 07 34.  

Repas :

Le programme du weekend inclut cinq repas végétariens de grande qualité, qui seront servis à des lieux proches de chez Anne et Alain. Ils comprennent les repas du soir vendredi et samedi, et les repas de midi vendredi, samedi et dimanche. Si vous le souhaitez vous pouvez prendre un repas dimanche soir (coût supplémentaire de 12 euros) : dans ce cas nous vous demandons de le signaler lors de votre inscription.
 


 

Nouveau matériel sur notre siteweb


Essai par Gerrit : Rencontrer nos sois passés en dehors du temps

Dans cet essai, Gerrit explore les conséquences d’une conception du temps non-linéaire pour le champ de la thérapie de régression. Il soutient que le contact avec d’autres vies ne concerne pas tant le souvenir de quelque chose qui est fini et bien fini. Il s'agit plutôt d'une interaction créative avec les présences vivantes qui sont encore en croissance et en évolution comme vous le faites. Le passé est essentiellement aussi ouvert et indéterminé que l'avenir. Cela jette une lumière nouvelle sur le sens de la thérapie de régression et offre de merveilleuses possibilités de guérison.

See www.jeshua.net/fr , Nouvelles

Transmission de la part de la Terre : Le cycle de vos saisons

En hiver, l’extérieur tombe; les branches sont nues. La vie se retire dans le tronc et dans les racines, et c'est le silence et la tranquillité dans la nature. Mais ce silence, cette vacuité et cette stérilité ne sont pas sans vie et sans âme - sentez-le. Lorsque vous vous promenez dans la forêt ou dans les champs, la vie est là - invisible, mais tangible. La vie se retire dans le noyau où elle rassemble ses forces pour germer à nouveau au printemps.

See www.jeshua.net/fr , Nouvelles.

 


 

Compte rendu de notre voyage en Chine


Au mois d’octobre nous sommes partis pendant 10 jours à Shanghai, où nous étions invités à organiser des ateliers pour nos lecteurs chinois. Depuis plusieurs années maintenant nos livres sont publiés en Chine et à Taiwan. Ce voyage était toute une expérience qui nous donnait l’impression de vivre une sorte d’initiation. Et cela ne s’est pas passé sans douleur!

Tout a commencé déjà durant le vol. Etre assis pendant 12 heures, pliés dans un fauteuil d’avion, avec l’appréhension de l’inconnu qui nous attendait, était pour nous passablement épuisant. Après une mini-nuit à veiller/dormir (le décalage horaire était de 6 heures), nous avons vu apparaître à nos pieds pour la première fois la ville de Shanghai, à travers le hublot. Nous voyions un désert sans fin de béton, des immeubles très hauts, des usines et des routes. Il y a 22 millions d’habitants à Shanghai. L’impression globale était grise et sombre. Je sentais dans mon cœur quelque chose qui se déchirait ; c’était du chagrin. C’était comme si j’atterrissais dans une zone en « guerre » ; toute la verdure et matière organique avait cédé sa place à des blocs carrés et  massifs de pierre. Après l’atterrissage nous avons pris un taxi jusqu’à notre hôtel, un trajet qui a duré environ ¾ d’heures. Gerrit m’a raconté plus tard avoir eu l’impression oppressante d’avoir été aspiré dans une atmosphère de bas astral ; partout des couleurs marron et gris… et l’absence de beauté et de joie.

En revanche nous avons été accueillis par notre hôte Chinois et son équipe de manière vraiment très chaleureuse et attentionnée. Leur hospitalité et courtoisie étaient touchantes. L’hôtel qu’ils avaient choisi pour nous était à côté d’un énorme jardin botanique avec des plantes exotiques merveilleuses : palmiers, bambous, bananiers, orchidées...  Ainsi, tout en étant en plein coeur de la ville nous étions quand même proche de la nature. Nous avons passé beaucoup de temps dans ce jardin !

Les premiers jours, j’ai continué à sentir du chagrin, j’étais vraiment un peu désarçonnée. Je n’arrivais pas à trouver une explication, il y manquait une raison concrète. Ce qui m’opprimait dans l’aspect de la ville c’était l’agitation, la cohue, le bruit et le smog. Il semblait que la priorité de la croissance économique dominait par dessus tout. Et il semblait que quelque chose de précieux était en train de se perdre, la culture millénaire chinoise avec sa finesse et profondeur. De temps en temps on voyait dans le jardin botanique des personnes âgées faire du tai chi, imperturbables au milieu de tout ce brouhaha et des discussions des passants. Alors tout d’un coup on sentait comme les échos d’une dimension différente, plus éthérique, éveillée à la vie, à travers les mouvements silencieux de ces personnes âgées et fragiles.

Après trois jours nous avons fait notre premier atelier, le soir. Nous étions un peu nerveux car nous ne savions pas à quoi nous attendre. J’avais en plus des problèmes de diarrhée et des crampes d’estomac. Il semblait que la plupart des personnes avaient lu nos livres et avaient été réellement touchées par cette lecture. L’ambiance était chaleureuse et les participants on posé de nombreuses questions. Beaucoup d’entre eux étaient émues et sont venu vers nous après l’atelier pour nous embrasser et balbutier quelques mots en anglais. Il y avait une barrière de  langue importante ; nous parlions en anglais avec l’aide d’une interprète mais quand elle n’était pas présente nous n’avions, pour nous exprimer, que le langage du corps. Ce qu’ils désiraient, c’était nous serrer dans leurs bras, de nous embrasser, et se faire en photo avec nous, les uns après les autres, chacun séparément ! On nous a pris des dizaines de fois en photo et nous commencions à avoir l’impression d’être de vraies stars locales! Nous leur avons expliqué qu’aux Pays Bas, personne ne voudrait être avec nous sur une photo comme cela, et cela les faisait bien rire.

Ensuite nous avions à nouveau deux jours libres avant un weekend intensif avec un autre atelier. Pendant ces deux jours j’ai attrapé un rhume et j’avais très mal à la gorge, à un tel point que je n’étais pas sûre de pouvoir continuer de parler. Je ne me sentais toujours pas bien à cause de la diarrhée et je ne dormais pas bien à cause du jet lag. Je devenais un peu désespérée et même hargneuse que je devais subir tout cela. J’ai demandé à mes guides et à Jeshua si cela pouvait être un signe que je n’étais pas faite pour ce genre de voyage et que dorénavant il valait mieux que je reste à la maison. Pas de réponse. Je réalisais que je ne recevrais pas de réponse claire étant donné l’état émotionnel de stress qui m’habitait. Le soir, lorsque j’ai observé la situation avec Gerrit en état méditatif, je voyais clairement que j’avais complètement perdu mon ancrage et ma force intérieure dans ces premiers jours à cause de l’énorme quantité de nouvelles impressions qui m’assaillaient en arrivant dans la ville de Shanghai. J’avais tout simplement tout absorbé sans avoir ressenti mes limites. Evidemment, c’était encore une bonne leçon : rester soi-même c’est important non seulement par rapport à nos relations avec autrui mais aussi par rapport à l’entourage global et aux ambiances collectives. Je reconnaissais ce thème comme quelque chose qui se répétait dans ma vie, et le fait d’en prendre conscience m’apaisait : lorsque je comprends comment quelque chose fonctionne je me sens tout de suite beaucoup mieux.

Le soir avant l’atelier du weekend j’ai pris un comprimé pour dormir et cela m’a permis de passer une bonne nuit. Le lendemain matin j’avais nettement moins mal à la gorge. J’étais soulagée et réalisais que quelque part au plus profond de moi je le savais : que tout s’arrangerait. Pendant les ateliers je me sentais encore toujours éreintée, mais il y avait une force qui m’a portée jusqu’au bout. J’ai commencé à me sentir véritablement « canal » ! Justement parce que j’étais tellement épuisée que j’avais l’impression d’être sur le point de m’évanouir, j’ai alors lâché prise et j’ai pu sentir la force de Jeshua et de Marie Madeleine couler en moi comme une énergie supra-personnelle qui me dépassait. Je sentais l’authenticité de cela. C’était vraiment exceptionnel parce que j’ai encore souvent ce côté sceptique en moi qui dit : « oui, mais est que cela ne vient pas surtout de toi-même finalement? » Cette voix «oui mais… » en moi est très persistante et là enfin elle était partie dans un souffle. J’ai lâché prise, et j’ai ressenti alors vraiment clairement que je n’ai pas besoin de faire cela, que je n’ai pas besoin de prendre toute la souffrance de ces personnes sur mes épaules, que je peux seulement installer en moi l’énergie de Jeshua et simplement rester complètement dans « mon propre corps ». L’initiation a été pour moi que je commençais à croire en ce que je faisais, et j’osais me confier à quelque chose de plus grand que moi. C’était la même chose pour Gerrit qui vivait également une transformation émotionnelle de lâcher prise des peurs et une nouvelle confiance en le flot d’amour et de positivité de l’univers.

C’était frappant de constater qu’un grand nombre de jeunes assistait aux ateliers. A la fin de la journée une jeune fille d’environ 20 ans est venu vers moi, elle a posé sa main sur son cœur, et avec un regard très intense m’a dit « I love you », tout en déplaçant sa main de son cœur sur le mien. J’étais profondément touchée par son geste et j’avais du mal à retenir mes larmes. Elle me donnait la réponse que je n’avais pas reçue quelques jours auparavant. Elle me montrait que là, dans cette grande ville agitée, j’étais au bon endroit, malgré le les nerfs éprouvés, les souffrances du corps et les doutes. Nous étions là chez nous, car nous étions reconnus et accueillis par une famille d’âmes.

Bien chaleureusement,

Gerrit and Pamela

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